Pour la plus part d’entre nous, le stress est devenu le mot désignant un état de malaise (mal aise) ou de mal être. On lui attribut souvent tout un tas de maux.
Le Larousse définit le stress comme « un été réactionnel de l’organisme soumis à une agression brusque ».
Hans Seyle, médecin québécois, est un pionnier de l’étude du stress. Il a définit le stress comme étant « l’ensemble des moyens physiologiques et psychologiques mis en œuvre par une personne pour s’adapter à un évènement donné ». Il explique que « le changement brutal survenant dans les habitudes d’une personne, jusque-là bien équilibrée, est susceptible de déclencher un bouleversement dans sa structure psychique et même somatique ». Il a ainsi développé sa théorie du syndrome d’adaptation (https://fr.wikipedia.org/wiki/Hans_Selye) et la notion de stress positif (eustress) – de stress négatif (distress).
En situation de stress, nous enclenchons un mécanisme d’adaptation engageant une dépense d’énergie qui, dans le cas d’un stress chronique, peut entraîner un déséquilibre sur les émotionnel/psychique, physique/structurel et biochimique/nutritionnel.
Dans notre monde en perpétuel évolution, dans notre vie en perpétuelle mouvement, nous devons en permanence nous adapter…